Capitaine de gendarmerie (garde 
				républicaine), Saint-Cyrien, il fait la « une » de l’actualité, 
				lorsqu’à la tête de ses gendarmes, il met fin, le 12 mai 1912 à 
				Choisy le Roi aux coupables activités de Jules Bonnot et de ses 
				complices. 
							
				Cette bande plonge la France dans l’angoisse depuis quelques 
				mois et les journaux l’évoquent quasiment tous les jours. 
							
				Aussi, devant un public évalué à 20 000 personnes et sous les 
				ordres du Préfet Lépine, il conduit son action avec courage et 
				efficacité.
				
				A sa demande, en 1914, il intègre 
				le 99e R.I. et part combattre au front. 
							
				Blessé à Fay, il décède le lendemain. 
							
				Parrain de la promotion 1995-1996 des officiers de gendarmerie 
				de Melun qui déposent une plaque commémorative à Faye. 
							
				La caserne de gendarmerie d’Aignan porte son nom.
				
				Il est décoré de la croix de 
				guerre avec palme.