La famille SCHNEIDER à l’origine des Forges du Creusot et de l’essor de la sidérurgie en France

 

SCHNEIDER François  Antoine dit Adolphe

Né le 3 brumaire an XI de la République soit le 25 octobre 1802 à 9 heures du matin
à Nancy M. et M. 54,
selon acte de naissance délivré par les Archives Départementales

Décédé le 3 août 1845 au Creusot 71 S. et L. des suites d’une chute de cheval

 

 

Fils aîné d’Antoine Schneider, il devient gérant, avec son frère Eugène (dit Eugène 1er), de l’établissement métallurgique du Creusot dont ils se partagent la direction et les bénéfices.

Adolphe s’occupe des relations commerciales de l’entreprise et Eugène est plutôt technicien.

Après des débuts modestes d’employé dans la banque Seillière, il devient ensuite maire du Creusot, conseiller général puis député en juillet 1942.

A son décès, il est remplacé à la Chambre des députés par son frère Eugène.

Il est inhumé au cimetière parisien du père Lachaise et son épouse s’installe à Paris et ne revient jamais au Creusot.

 

 


(Source : logiciel AUREAS AstroPC)

 

Retrouvez l'acte sur les Archives Départementales Françaises en ligne

 

Son frère Eugène SCHNEIDER fait partie des 72 savants et ingénieurs figurant
 sur la frise de la Tour Eiffel, face Grenelle

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