Pape de la F1, à la tête de la plus grande écurie de l’histoire,
il incarne le prestige mondial de la voiture de course.

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Enzo FERRARI
Enzo Anselmo Giuseppe Maria Ferrari

Né le 18 février 1898 à 3h à Modena Italie
(déclaré à l’état-civil deux jours plus tard en raison des conditions météo)
Source : Astrothème – fiabilité C (en question) contributrice Grazia Bordoni

 Décédé le 14 août 1988 à Modena Italie

 


Enzo Ferrari à Monza en 1967 – source Wikipédia

 

La course a donné naissance à l’automobile (Enzo Ferrari)

…ni ingénieur, ni inventeur mais bricoleur qui sait faire marcher les choses… 

Je suis sûr que mes voitures vont courir en même temps et le même jour dans deux ou trois endroits du monde.

La Ferrari est l’expression vivante de mon rêve. (Enzo Ferrari)

Un Prométhée metteur en scène célébré dans la F1 mondiale

 

 

La course a donné naissance à l’automobile (Enzo Ferrari)

Sur les épaules d’il Commendatore se construit un mastodonte du sport automobile.

Ce dur-à-cuire en imposera par sa taille (1.87m.), son charisme froid, impitoyable, sa très forte personnalité, au point de devenir le leader mondial sur fond de la mythique couleur rouge et du cheval cabré de Ferrari synonymes de persévérance, de bravoure et de panache à quatre roues.

Ce prince des patrons d’écurie sera le personnage le plus couronné de lauriers de la course automobile, l’un des plus puissants et influents de l’histoire de l’automobile.

Enzo Ferrari pilote de course dès 21 ans, place toujours la compétition automobile avant la construction industrielle de véhicules de route. Et c’est par la compétition que ce créateur de voitures de prestige très prisées se donne une réputation mondiale au point de déclarer : La course a donné naissance à l’automobile.

Toute nouvelle Ferrari de course ou de tourisme sortie de ses ateliers fait vibrer les aficionados, suscitant curiosité et envie au monde entier.

Ce phénomène qui dédie véritablement sa vie à son entreprise voit au terme de son existence à 90 ans son nom victorieux dans 94 Grands Prix de F1, 5.000 courses dans toutes les disciplines et quelque 120 modèles face à d’autres concurrents influents dont Ferdinand Porsche, Ettore Bugatti

 


Enzo Ferrari en 1920 - source Wikipédia

 

…ni ingénieur, ni inventeur mais bricoleur qui sait faire marcher les choses… 

Il se rêvait chanteur d’opéra ou journaliste sportif. Après avoir fait ses premiers pas dans la mécanique automobile dans le petit atelier de son père, il se forme aux rudiments du métier à l’école technique de Modène. À 10 ans, venu en spectateur avec son père, il découvre la fièvre de la course sur le circuit de Bologne.

Après le décès de son père et de son frère lors d’une forte épidémie de grippe en 1916, Enzo doit arrêter ses études puis mobilisé il s’en va ferrer des mulets pour l’armée italienne où il réchappe à 20 ans de la pandémie de grippe espagnole.

À partir de 1920, embauché comme pilote de course chez Alfa Romeo alors écurie vedette de la compétition, il engrange une douzaine de victoires. Présenté aux Baracca, vieille famille de la noblesse italienne, la comtesse Paolina lui offre d’utiliser le « cheval cabré » qui frappait autrefois le fuselage de l’avion de son fils mort au combat.

Outre ses talents de pilote, Enzo Ferrari se révèle un prodigieux organisateur quand devenu directeur technique d’Alfa Romeo il fonde en 1929 sa propre écurie de course la filiale SA Scuderia Ferrari à Modène.

Au moment où Alfa Romeo le licencie en 1939, il estime alors venu « le moment de montrer ce qu’il sait faire tout seul ».

Celui qui se décrira plus tard « ni ingénieur, ni inventeur mais bricoleur qui sait faire marcher les choses » va attirer par son charisme irrésistible de leader les plus grands coureurs du moment, considérant que les pilotes vont vers les meilleures voitures qui peuvent les faire gagner.

 


Enzo Ferrari avec son fils Dino en 1947

 

Je suis sûr que mes voitures vont courir en même temps et le même jour
dans deux ou trois endroits du monde.

Après les affres de la Seconde Guerre mondiale, les ateliers Ferrari reviennent à l’automobile en 1945 et c’est en 1947 que sort la première voiture à l’emblème mythique du cheval noir cabré sur fond jaune qui devient dès lors le logo apposé sur chaque véhicule sorti de ses ateliers.

Quant au rouge typique de ses carrosseries, il provient du fait que c’était dès le début du XXe siècle la couleur nationale attribuée aux véhicules italiens de Grands Prix.

La première victoire de Ferrari le 25 mai 1947 sur le circuit de Rome avec le pilote Franco Cortese signe le début de la gloire pour Enzo Ferrari avec les nombreux succès de ses voitures sur tous les circuits du monde.

Il commandatore vacille en 1956 quand son fils Dino meurt à 24 ans de dystrophie musculaire. Il semble vouloir tout arrêter mais la mise en œuvre du V6 dessiné par son fils le remotive pour écrire le plus prestigieux palmarès du sport automobile.

En 1963, la firme italienne en proie à des difficultés financières reçoit les avances assidues de l’américain Ford mais alors que le projet de vente est quasiment bouclé, Enzo Ferrari l’annule brusquement.

Je suis sûr que mes voitures vont courir en même temps et le même jour dans deux ou trois endroits du monde déclare bientôt ce battant optimiste qui aime faire monter la tension dans la F1 automobile.

Après quelques années d’insuccès, c’est Fiat qui, au printemps 1969, rentre à 50% dans le capital de Ferrari pour financer le retour sur le chemin de la victoire des voitures rouges qui rugissent à nouveau en vue des podiums à partir de 1974.

 


Logo de Ferrari – source Wikipédia

 

La Ferrari est l’expression vivante de mon rêve. (Enzo Ferrari)

Toujours plus préoccupé par l’avenir que par le présent, il avoue : j’aimerais mettre quelque chose de nouveau tous les jours dans mes voitures.

Cependant la philosophie d’Enzo Ferrari est de voir se perfectionner la nouvelle technologie chez ses concurrents avant de l’appliquer. Ainsi, se faisant l’économie de l’expérimentation, il l’intègre à son tour avec deux ans de retard pour finalement terminer avec deux ans d’avance (frein à disque...).

En fin de carrière, Enzo Ferrari est toujours là ! Certes en retrait mais toujours présent. Il reconnaît : le mérite en revient à tous mes collaborateurs qui ont su interpréter mes idées.

Après le décès de son épouse Laura Garello en 1978, on apprend que Piero Lardi, directeur administratif de la Scuderia, est son fils caché né en 1945 d’une liaison avec Lina Lardi.

 

Sources documentaires :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Enzo_Ferrari
https://www.cd-sport.com/cdecale/qui-est-enzo-ferrari-le-fondateur-de-la-marque-au-cheval-cabre/
https://www.montblanc-boutique-cannes.com/blogs/news/biographie-de-enzo-ferrari?srsltid=AfmBOooBLO-aZpos-ICsGFRaqmPsu2QhGGzQnx8jwIu8HG0Rygbkuodq
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferrari_(entreprise)#/media/Fichier:Ferrari-Logo.svg

https://www.youtube.com/watch?v=tjuIv059CYI&ab_channel=L'ÉQUIPE

 

 

 

 

Un Prométhée metteur en scène célébré dans la F1 mondiale

Prodigieux Prométhée et formidable metteur en scène de la course automobile à l’échelle mondiale.

C’est le profil qu’inspire son thème astral aussi exceptionnel que l’est le héros Enzo Ferrari.

Né avec le sceau très marqué du Verseau, d’emblée on peut dire en raccourci qu’il a tout pour innover, réussir et être célèbre pour peu que l’enjeu en soit énorme et difficile.

 (4 planètes au Verseau dont le Soleil et le maître du maître d’ascendant, le tout en secteur II, Uranus maître de l’amas Verseau est en XII au Sagittaire et conjoint à Saturne)

En outre, il a la baraka - pas seulement en raison de l’étalon cabré de Baracca - mais parce qu’il est naturellement chanceux avec un talent énorme pour la mise en scène afin de rayonner avec panache sur le plan médiatique.

Il incarne l’idéal jupitérien qui le pousse à entreprendre en grand, toujours se dépasser et dépasser ses concurrents sans cesser de s’améliorer pour aller de l’ordinaire jusqu’à l’étoile sublime.

(Jupiter maître ascendant Sagittaire conjoint au MC en Balance et magnifiquement aspecté)

Cet indépendantiste-né, humaniste mais volontiers dictateur, aime avancer à contre-courant et faire ce qui ne s’est encore jamais fait tout en veillant à plaire au public et attirer les meilleurs pilotes du moment.

C’est ce qui le pousse à laisser aux autres écuries la phase difficile de l’expérimentation avant d’adopter l’innovation.

 Sans conteste, il est une magnifique incarnation du complexe de supériorité qui lui fait dire Je suis sûr que mes voitures vont courir en même temps et le même jour dans deux ou trois endroits du monde.

ou bien : Je cours parce que je suis un enthousiaste… mais qui sait aussi avoir le sens des affaires.

 

 

Chapeau à Il commandatore qui a écrit en rouge glorieux son nom
sur les circuits de la planète !

 


(
Logiciel AUREAS AstroPC Paris)

 

 

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