Une dame d’exception… qui sait parler à l’oreille des chimpanzés…
Mais pas que !!

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Jane GOODALL
Née Valérie Jane MORRIS-GOODALL

le 3 avril 1934 à 23h30 à Hampstead Londres GB
selon Astrothème – fiabilité B

 

 

En 1960, elle vit seule parmi les animaux pour étudier les chimpanzés…

À 10 ans, Jane rêve d’animaux et d’Afrique

Institut Jane Goodall : pour une action planétaire

Âme chevaleresque à la conquête d’un haut humanisme

 

 

En 1960, elle vit seule parmi les animaux pour étudier les chimpanzés…

Pour avoir observé, en octobre 1960 un chimpanzé en train de fabriquer et d’utiliser des outils pour attraper des termites, Jane Goodall va bouleverser la définition de l’humain, en outre, dans un monde où la science se conjugue d’abord au masculin.

Aujourd’hui messagère de la Paix auprès de l’ONU, cette éthologue(*), désormais âgée de 90 ans et toujours active, voyage encore 300 jours par an.

« Je continuerai à me battre » affirme cette figure internationale de la défense de l’Environnement titulaire de centaines de Prix pour son rôle de modèle auprès des jeunes et son inlassable travail de terrain.

À 26 ans, elle décide de vivre seule parmi les animaux pour étudier les mœurs des chimpanzés en Tanzanie près du lac Tanganyika, dans l’Afrique de l’Est.

Ce sera la plus longue étude de terrain menée sur les animaux sauvages dans leur environnement naturel.

Ensuite, après un parcours universitaire, elle obtient un doctorat en éthologie suivi de travaux qui bousculent profondément la manière de voir les primates que sont les humains et les autres grands singes.

Notamment, elle observe que les chimpanzés, contrairement à ce que l’on pense, ne sont pas végétariens mais omnivores. Et…  qu’ils peuvent mener des guerres entre eux !

(*) L'éthologie : étude scientifique du comportement des espèces animales y compris l’humain, dans leur milieu naturel

(Source : Wikipédia)

 


Jane Goodall militante de l’écologie planétaire :
une vie passée à étudier les chimpanzés et protéger leur habitat.

  

À 10 ans, Jane rêve d’animaux et d’Afrique

Née d’un père ingénieur et d’une mère au foyer, les moyens manquent pour lui payer des études.  Aussi, la jeune londonienne diplômée secrétaire, enchaîne les petits boulots.

Invitée par une amie au Kenya, voilà Jane partie à la rencontre de ses rêves d’enfance.

Alors âgée de 23 ans, elle foule le sol africain et pousse sans le savoir la porte de sa vocation. Providentielle est alors sa rencontre avec l’illustre archéologue, paléontologue Louis Leakey dont elle devient secrétaire dans cette Corne de l’Afrique considérée par la suite comme « point chaud de la biodiversité mondiale ».

Les travaux de Goodall transforment profondément la compréhension des rapports entre les êtres humains et les autres animaux.

À force d’observations, elle est amenée à nommer les animaux qu’elle côtoie et du coup leur donner une personnalité, ce qui réduit d’autant la distinction entre les chimpanzés et l’Homme.

En 1986, observant des différences de comportements chez les chimpanzés d’un groupe à l’autre et d’un endroit à l’autre, elle propose alors de l’expliquer par des variantes culturelles, s’agissant de la même génétique.

Cette approche nouvelle reprise par d’autres chercheurs à l’international s’étoffera sur le long terme.

 

 

Institut Jane Goodall : pour une action planétaire

Exceptionnelle observatrice de la nature et du monde animal, Jane Goodall en vient vite à la priorité d’alerter l’opinion publique des dangers qu’encourt notre planète et pour une meilleure prise de conscience de l’environnement.

Selon le principe que chacun, chaque jour a un impact sur la planète et voyant les animaux et leurs habitats menacés, cette scientifique passe à l’acte à l’échelle planétaire.

Ainsi en 1977, elle fonde l’Institut Jane Goodall pour promouvoir recherche, éducation et conservation de la faune.

Protéger la biodiversité, aider à la gestion durable des ressources et éduquer les plus jeunes, forment la démarche globale de cet organisme.

Pour protéger nos plus proches cousins que sont les chimpanzés, l’Institut Jane Goodall gère des réserves naturelles et crée en Afrique des refuges où sont accueillis en majorité des orphelins dont les mères ont été victimes de la chasse. Sans ces orphelinats, ces jeunes chimpanzés seraient condamnés.

Outre, ces réalisations, cet Institut s’investit dans des programmes innovants visant à prendre davantage soin des animaux, de l’environnement et de la communauté humaine impliquant 150 000 groupes dans plus de 136 pays.

 


En 2013, Jane Goodall raccompagne dans la jungle congolaise, Wounda, chimpanzé femelle longuement soignée.
Avant de retrouver la vie sauvage, la guenon étreint longuement la scientifique.

 

 

Âme chevaleresque à la conquête d’un haut humanisme

Quand le conquérant Bélier s’allie à Prométhée l’avant-gardiste, il nous est donné d’explorer le thème de Jane Goodall.

Comme il se doit pour cette uraniste, elle fait dans l’inédit, l’original, quand elle part  droit devant explorer l’exotisme du monde et des primates.

(Axe Sagittaire-Gémeaux ; Uranus conjoint à Soleil-Mars en Bélier en IV conjoints au FC ; Lune en XII conjointe à l’asc. Sagittaire trigone à Mars-Bélier ; Mercure-Poissons recevant trigone de Pluton en Cancer en VIII qui est au double carré de Jupiter et Uranus)

 De l’humain au primate, il n’y a qu’un pas qu’elle franchit gaillardement quand elle décide de vivre parmi les chimpanzés de Tanzanie, ces proches cousins, hors normes, de l’homme.

 Faisant cela, elle mène sa vie vers le plus haut idéal humaniste de survie sur terre, et le fait savoir à travers la création de son Institut.

Il est un magnifique lien tissé à travers le monde par cette Sagittairienne !

 Œuvrer pour la protection de l’environnement avec humains et animaux, inspire cette scientifique éprise d’harmonie, d’équité et de bien-vivre social.

(Jupiter maître d’asc. en Balance trigone à Vénus/Verseau)

Par l’ascendant Sagittaire, nous voyons à l’œuvre l’axe nomade du zodiaque qui fait dire à cette scientifique de 90 ans qu’elle voyage encore 300 jours par an.

Ce goût de la « voyagite » hors-normes la tient depuis l’enfance puisqu’elle rêvait déjà de la lointaine Afrique et de ses animaux.

 

MERCI à Jane Goodall d’avoir poussé les portes de l’inédit
pour tirer vers le haut l’humanité !

 

 


Logiciel Auréas Astro PC Paris

 

En astrologie, qu’est-ce qui prédispose à devenir scientifique ?

En savoir + : https://www.janinetissot.com/2020/04/17/les-scientifiques/

 


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